En récupérant la chaleur avant qu'elle ne s'échappe dans l'atmosphère, la BOX contribue à réduire l'élévation mondiale de température et probablement à réduire les évènements climatiques extrêmes et nouveaux appelés "Coup de fouet climatique"
En canalisant l'air chaud, en le purgeant à intervalles réguliers avant que le niveau de température des cellules n'excède celui des recommandations des fabricants, en optimisant le circuit d'air frais entrant dans la BOX et en le dirigeant vers la sous-face du PV l'on améliore : La productivité directe du PV (+ 2.5 %), la durée de vie des cellules et donc, celle du PV.
En stockant l'air chaud au moyen d'un procédé de matériau à changement de phase (PCM) l'on régule la production d'électricité afin qu'elle soit parfaitement pilotable et en conformité avec la demande. La chaleur peut être conservée une semaine sous la charge d'une perte de 1 à 5 % selon les matériaux retenus (céramique, sable, H2, sels....)
En dynamisant le flux de chaleur issu de la PCM au moyen d'un éjecteur (Vortex) l'on dope le niveau de température de l'air chaud en sortie et l'on produit, parallèlement, de l'air glacé de type industriel
A tout moment, même sans stockage intermédiaire, l'on peut produire de l'électricité surnuméraire, qui s'ajoute à celle produite naturellement par le PV
Les PV-T sont exposés aux vents comme les PV, il est démontré que les pertes thermiques dues à l'effet du vent peuvent atteindre 70 %. La capture de l'air chaud sous le panneau par confinement libère le procédé de ce risque et 100 % des calories qui ne sont pas perdues par réflexion (Pertes optiques) ou par convection, conduction, rayonnement (Pertes thermiques) sont valorisées en électricité.
La production d'électricité surnuméraire étant localisée au pied des champs photovoltaïques, si son volume est excessif, l'on peut produire de l'H2, de l'O2, de l'ammoniaque, mais aussi capturer le CO2 existant. Ces sous-produits sont hautement verts et livrables dans un court rayon local sans subir le surcoût financier et écologique d'un transport complexe.
Pour un investissement supplémentaire modeste, la production électrique du PV s'accroît considérablement de telle manière que les coûts d'investissement et d'installations sont amortis plus rapidement.
Les coûts de maintenance des parcs photovoltaïque sont directement proportionnels aux risques de pannes identifiées (surtension ponctuelle, échauffement du PV, délamination, mouvements du parc sous l’effet des intempéries). Tous phénomènes en réduction massive grâce aux effets induits de la BOX
Le champ de PV présente une résistance aux intempéries accrue. Le bloc photovoltaïque est formé du système de supportage du PV et du PV lui-même, auxquels s’joutent la BOX et les dispositifs périphériques. La BOX rigidifie l’ensemble, augmente sa résistance mécanique (efforts à l’arrachement, à la pression, à la dépression), renforce sa résistance aux vents et à l’effet de la neige. Mis en œuvre sur un tracker la BOX en position rangement ou inversée protège le PV des chocs liés à la grêle.
La BOX est produite localement ou régionalement, par des ateliers locaux, qui peuvent intégrer sa production à leur activité normale, garantissant la présence d'un réseau national très réactif et la répartition de la charge de travail sans nécessité de transports coûteux, volumineux et peu écologiques.